Voici les premières impressions que j'ai eu depuis mon arrivée il y a 2 jours :
- les gens sont très accueillants et très ouverts. Ils te saluent dans la rue et n'hésitent pas à engager la conversation.
- les hommes sont très dragueurs, mais pas collants. Ouf ! Ils doivent penser que "qui ne tente rien n'a rien!" Mais bon, Mme. Pan, elle sourit, elle est gentille, mais elle ne se laisse pas faire ! T'inquiète pas Papa !
- la nuit tombe très vite (dès 18/19h) et mon gîte est un peu "dans la campagne", à 30 minutes du centre à pied du coup on m'a déconseillé de rentrer seule le soir. St François est une commune riche (c'est peut-être la plus aisée de Guadeloupe) donc beaucoup de voleurs rodent le soir du côté du Golf. C'est vrai que les villas sont vraiment belles (avec piscine et plage privée!)
- ce n'est pas aussi cher que ce que je pensais. On m'a dit que tout était 50% plus cher qu'en métropole. Heureusement que ce n'est pas vrai pour tous les produits. J'ai mangé une cuisse de poulet, des frites et de la salade pour 4 euros dans un boui-boui... Ya plus cher à Paris !
- il y a une importante communauté indienne : le chauffeur de taxi qui m'a conduit de l'aéroport au gîte, la femme qui m'a proposé d'aller à la plage aujourd'hui, le tenant du boui-boui dans lequel j'ai mangé le poulet, un homme qui proposait un logement, etc.
- les différentes communautés ne se mélangent pas. Enfin surtout les "métros" et les "gwadas" comme ils disent. C'est vraiment une impression et ce n'est peut-être qu'à St François. Pour avoir parlé à des personnes de ces 3 communautés, je dirais que les caractères sont vraiment différents, au point même d'en être caricatural ! Après il existe des black-à-blancs (il me semble que c'est comme ça qu'on les surnomme ici) c'est-à-dire des gwadas qui ne fréquentent que des métros et inversement. On va dire que c'est très "segmenté". À voir par la suite si cette impression se confirme.
Revenons à l'accueil et à la chaleur des gens. J'ai eu peur d'être seule en arrivant mais j'ai toujours eu quelqu'un pour m'accompagner pour mes repas : premier dîner avec des papis gwadas qui m'ont appris quelques mots créoles, ensuite 2e dîner avec un "cercle minceur" et aujourd'hui, pic-nique sur la plage avec 3 familles.
- les gens sont très accueillants et très ouverts. Ils te saluent dans la rue et n'hésitent pas à engager la conversation.
- les hommes sont très dragueurs, mais pas collants. Ouf ! Ils doivent penser que "qui ne tente rien n'a rien!" Mais bon, Mme. Pan, elle sourit, elle est gentille, mais elle ne se laisse pas faire ! T'inquiète pas Papa !
- la nuit tombe très vite (dès 18/19h) et mon gîte est un peu "dans la campagne", à 30 minutes du centre à pied du coup on m'a déconseillé de rentrer seule le soir. St François est une commune riche (c'est peut-être la plus aisée de Guadeloupe) donc beaucoup de voleurs rodent le soir du côté du Golf. C'est vrai que les villas sont vraiment belles (avec piscine et plage privée!)
- ce n'est pas aussi cher que ce que je pensais. On m'a dit que tout était 50% plus cher qu'en métropole. Heureusement que ce n'est pas vrai pour tous les produits. J'ai mangé une cuisse de poulet, des frites et de la salade pour 4 euros dans un boui-boui... Ya plus cher à Paris !
- il y a une importante communauté indienne : le chauffeur de taxi qui m'a conduit de l'aéroport au gîte, la femme qui m'a proposé d'aller à la plage aujourd'hui, le tenant du boui-boui dans lequel j'ai mangé le poulet, un homme qui proposait un logement, etc.
- les différentes communautés ne se mélangent pas. Enfin surtout les "métros" et les "gwadas" comme ils disent. C'est vraiment une impression et ce n'est peut-être qu'à St François. Pour avoir parlé à des personnes de ces 3 communautés, je dirais que les caractères sont vraiment différents, au point même d'en être caricatural ! Après il existe des black-à-blancs (il me semble que c'est comme ça qu'on les surnomme ici) c'est-à-dire des gwadas qui ne fréquentent que des métros et inversement. On va dire que c'est très "segmenté". À voir par la suite si cette impression se confirme.
Revenons à l'accueil et à la chaleur des gens. J'ai eu peur d'être seule en arrivant mais j'ai toujours eu quelqu'un pour m'accompagner pour mes repas : premier dîner avec des papis gwadas qui m'ont appris quelques mots créoles, ensuite 2e dîner avec un "cercle minceur" et aujourd'hui, pic-nique sur la plage avec 3 familles.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire